Voila un mail et surtout de la lecture,mais Sally sera
bientôt
soumise comme une chienne,et nous enverra de superbes
photos
de ses belles mamelles,et quelles mamelles de femelle,je
bande…
Et je suis sûr quelle deviendra une bonne truie à
bites
avec de superbes photos pour nous
montrons
qu’elle aime se faire éclater le trou du cul,se faire
fourrer la chatte
par de bonnes bites,et se faire couvrir de
sperme…..
Bonjour Michel,
Je viens de découvrir votre blog. Un délice !!
Nous sommes exactement sur la même longueur d'onde...sexuelle.
Le même goût pour ces femmes matures, bien en chair, avec de grosses mamelles, un gros cul, soumises, avides de queues et de sperme, les vraies femelles, bref ce que vous appelez des
'truies'.
Je suis avec l'une d'elles, Sally, 54 ans, un régal pour la (les )bites. soumise à souhait, partante pour tout. Je n'ai jamais vu ça, elle jouit sans arrêt, un orgasme après l'autre. Nous
avons des rapports SM. Voici un texte sur l'une de nos soirées, cela vous en donnera mieux une idée. Je lui ai demandé d'en écrire aussi un que je vous enverrai. Je vois qu'il y a beaucoup de
photos sur votre site. Mais nous ne pouvons vous en envoyer, Sally est mariée, et nous tenons à la discrétion, sauf peut être des photos où il n'y a que … le bas, hélas.
Je souhaite que nous gardions le contact.
Amitiés
Adam
J'avais mis une annonce:' Homme veut livrer sa femme, une poufiasse folle de bites, à d'autres mecs, pour une douche de sperme'. Sally voulait des mecs en meute autour d'elle, les queues dressées, précisant' il n'y aura que des chiens autour d'une chienne, me copulant sans un mot, uniquement pour me niquer, chacun la bite dans la main, attendant son tour, et regardant le spectacle de l'autre en train de tremper sa bite dans mon trou trempé de chienne en chaleur'.
J'en ai 'sélectionné' soigneusement avec elle quatre. Rendez-vous, discussions etc.. Je dis 'Soigneusement' , d'autant plus, que cela se passait chez moi. Les critères: des mecs mariés (ça sécurise), une bonne situation ( ça sécurise aussi, eh oui) , le reste, sur le plan physique, des mecs différents et là, j'ai laissé ma salope choisir suivant ses goûts. Elle a choisi la variété: Michel, un professeur de gymnastique, 60 ans, brun, très bien conservé, grand, athlétique, Bruno, la quarantaine, informaticien, l'air d'un jeune homme timide, long et maigre, Pierre, propriétaire d'un bard, moustachu, petit, râblé, des jambes de montagnard, Jean, 50 ans, énorme, une chemise ouverte sur un torse poilu, commercial,
La soirée, le Vendredi soir a commencé tôt, 19h. D'abord entre mecs, champagne, on discute, on se connaît mieux, Sally ce qu'elle est, une vidéo sur elle avec moi, je les mets à l'aise, 'vous pouvez aller à fond', 'pas de quartiers', 'elle aime ça'. Quelques règles, dont la principale c'est que je conduis le jeu. Tout le monde est détendu et on décide de se mettre tous à poil. Je siffle Sally. Elle arrive, hauts talons, bustier noir qui n'arrive pas à contenir son énorme poitrine, son gros cul qui déborde et qui roule quand elle marche, et sa chatte bien visible dans une culotte à fenêtre. Je lui dis de marcher d'abord pour la revue de tous ses charmes, ce qu'elle fait docilement. Comme je le lui avais dit, elle passe devant chacun pour le premier contact, roule une pelle, attrape la bite à chacun, soupèse les couilles. Tout le monde bande, enfile rapidement une capote, et je vois que Sally est ravie de son choix et des bites. Celle de Michel, le plus vieux, est brune, énorme, raide, une vraie tringle, il bande comme un âne. Bruno, entre ses jambes maigres, deux énormes couilles, et une pine blanche, longue, un vrai bâton. La pine de Pierre est rouge violacée, plus courte, mais très grosse. Jean, nu, est vraiment une bête, poilu du dos jusqu'au ventre et aux fesses, avec une queue bizarre, dressée en arc. Elle regarde les bites dressées, avide, impatiente, contente de son choix.
Et puis, ...c'est parti. Elle n'y tient déjà plus. Elle sort ses gros nichons, écarte le bouton pressoir de sa culotte, et nous montre une chatte déjà baveuse. Le premier, c'est Pierre, ,elle avale sa bite velue, le pompe avidement, puis lui monte dessus, et carre sa bite dans sa chatte tout de suite. Puis elle va vers Michel, met son gland sur les bords de sa chatte avant de rentrer elle même sa queue d'un coup sec. C'est finalement Michel qui est très performant, un vrai Rocco. Nous le regardons la fourrer et la faire hurler de plaisir. Puis, pause, elle lui retire sa queue, et se masturbe avec les doigts en nous regardant, provocante, avide d'une autre queue. Elle demande à Pierre de lui enfoncer en même temps un doigt dans le cul. Puis, elle lui mord les cuisses, la poitrine, se colle à lui, lui attrape sa bite violette d'excitation, et se l'enfonce jusqu'au fond de la gorge, le fait râler, dans un plaisir insoutenable, jusqu'à ce qu'il vide ses couilles dans sa bouche.
Puis, satisfaite, elle se met debout, les jambes écartées, et se masturbe, de nouveau, en regardant chacun, la langue sortie, provocatrice, ses énormes mamelles pendantes. Du coup, la meute est en folie. !Ils viennent tous sur elle, ils l'entourent, et moi, pour l'instant je regarde. Ils la pelotent, excités à mort, l'un lui attrape une mamelle, l'autre lui tord l'autre mamelle, un autre encore lui donne des claques sur ses grosses fesses tremblotantes, un autre est arrivé à lui foutre le doigt dans la fente, un autre encore a enfoncé son majeur dans le trou de son cul, Jean colle son énorme bide à son ventre, Bruno, sa longue queue dressée, se frotte à son cul et essaie d'y faire entrer son noeud, Michel lui roule des pelles, ils sont les trois la bite dressée, collée à elle. Elle attrape les queues, en gobe une puis l'autre, en saisit une autre dans la main et la branle, elle a maintenant une bite dans chaque main, une autre enfoncée dans sa bouche qu'elle tête comme un biberon, pendant qu'un autre la nique, le tout en silence, un silence où il n'y a que des grognements, des râles. Du coup, Pierre se remet à bander .Puis Michel, entraîne Sally dans une chambre, et les autres suivent, une vraie meute!
Je laisse faire et puis je viens dans la chambre. Je ne la vois plus! ils sont agglutinés autour d'elle, sur elle, je ne vois que ses jambes que l'un tient écartées pendant qu'un autre la viole à grands coups de reins. J'interviens, je leur demande de s'écarter, elle est en nage, rouge d'excitation, les cheveux collés de sperme, de longues coulées de sperme blanc ou transparent coulant sur son visage, des flaques de sperme visqueux sur ses gros nichons, sur son ventre. Il y en a deux, qu'elle a fait déjà exploser et qui sont anéantis, le regard vitreux, la pine flasque. Seul Michel continue de la bourrer, lui défonçant la fente, un vrai Rocco décidément, pendant que Bruno, lui maintient la tête entre ses mains, et lui nique la bouche frénétiquement.
Je les fais gentiment tous sortir, et revenir au salon. Je reste seul avec elle. Je lui fous d'abord deux beignes histoire de lui apprendre que je suis là. Je la fouette jusqu'à ce qu'elle se calme. Comme d'habitude, elle se ramollit alors, elle aime ça, elle adore ce passage à cette autre plaisir, elle se met à mes pieds, chienne obéissante , ouvre la bouche en signe de soumission pour que je lui enfonce ma bite, sors la langue et la lèche en frétillant de la croupe, me promet de faire ce que je lui dirai de faire et de ne pas en faire à sa guise. Je l'ai ramenée alors au salon.
J'ai désigné Jean , et j' ai ordonné à Sally de lui pomper la pine, jusqu'à ce qu'il se remette à bander. Ensuite, j'ai demandé à Pierre de la mettre sur la table, de lui lever les jambes, de les écarter et de l'immobiliser, et à Bruno de la violer sans pitié. Les autres, nous regardions tous en commentant, en l'encourageant:'Défonce cette putasse, fais lui éclater la fente, fais la exploser, la salope, elle jouit et elle veut encore, pête lui le con; gicle lui sur la gueule, elle en peut plus la chienne, vas y finis la, fait la pisser sur elle.', chacun y allait de son commentaire.
Nous bandions, comme des ânes, en la regardant se faire sauter. Elle, salope, ondulait des hanches, les mains enfoncées dans les fesses de Bruno pour bien le coller à elle, regardant avec satisfaction nos bites dressées, sûre, je la connais, de son pouvoir sur les mecs. Et c'est elle qui a fini Bruno , et l'a obligé à se soulager dans son ventre vorace.
Chacun de nous comprend le défi qu'elle nous lance, et qu'elle nous fait comprendre qu'elle peut se taper toute la meute. Quand Bruno décharge en elle, elle a une longue jouissance et elle fait signe à un autre de venir la niquer. Pierre, vient, les couilles dans la main , et il s'affaisse sur elle, ses couilles pendantes sur sa bouche. Nous la regardons les faire rouler de sa langue, gourmande, perverse, nous provoquant du regard, quel spectacle! ' La pétasse, regardez la, elle nous provoque, elle en veut encore' dit Michel alors. Il n'y tient plus, il vient, écarte l'autre, et enfonce dans son trou béant maintenant son énorme tringle, et il la retire pour nous la montrer trempée de sa mouille 'La catin, elle est toute excitée, regardez', et il la viole à son tour et elle hurle de plaisir sous ses coups de boutoir. Elle me regarde, et elle me crie 'il est bon , regarde comment il me baise, je veux la tienne dans le cul.'
Ils applaudissent alors tous et me demande de me lever. Je m'approche d'elle, j'écarte Michel. Je me tourne vers eux, et je leur dis'ça, ce trou, il m'est réservé'. Je la mets bien en face d'eux, je lui écarte les fesses, pour qu'ils voient bien son trou du cul, et je leur dit de venir , et tour à tour, ils lui enfoncent le majeur dans le cul, et nous l'élargissons ainsi pendant qu'elle crie de douleur. Puis j'attrape ma bite dans la main, et d'un seul coup , je l'encule à sec devant tous, elle les mains sur le dos d'une chaise et les regardant. Je leur demande, en même temps, de venir enfoncer leur pine dans sa bouche, lui doigter la vulve, lui peloter les nichons, lui rouler des pelles. Ils viennent, enfoncent leur queue molle ou dure dans sa bouche, se la nettoient en la frottant sur sa gueule:'avale pétasse, sors ta langue et nettoie ma pine, enculée des mes deux' et elle jouit encore une fois en hurlant, en nous insultant, en nous provoquant'Niquez moi, sautez moi, je n'aime que ça, je suis votre pute, je ne sers qu'à ça, à soulager les bites, pissez moi dessus, j'aime tout ce qui vient de la bite, je veux des couilles à lécher, des bites à pomper, montrez moi que vous êtes des mecs'.
Et elle s'affale épuisée, mais continue de nous provoquer'sales pédés, je veux que ça ne s'arrête pas, je veux être niquée, je veux la tringle, la bonne tringle.'
La Salope! Tout le monde s'est remis à bander. Je lui ai dit de se mettre à quatre pattes. Nue, les seins énormes pendants, le cul offert, une vraie chienne. Nous la montons chacun à notre tour. Pierre est couché, elle lui suce la bite pendant que nous quatre, tour à tour, nous lui défonçons la chatte. Nous la prenons, scotchés à elle en levrette, suant, ahanant, grognant, éructant, la queue dure, tétanisée, elle est devenue une loque, gémissant à chaque coup de rein, criant de douleur chaque fois qu'un pieu s'enfonce dans sa chatte à vif, ses nichons ballottant au rythme de nos coups de queue de mecs en rut qui la niquent sans pitié, nos pines se succédant dans sa chatte. Sa chatte est béante. Jean lui écarte les jambes et la montre aux autres, ouverte totalement, ce que voyant, deux autres la niquent en même temps et nous les regardons très excités introduire leur bite ensemble dans sa chatte pendant qu'elle gémit de douleur et de plaisir. Les règles sautent. Pierre l'oblige à lui tendre son gros cul. Il me regarde, j'acquiesce et il l'encule d'un coup sec de reins et lu enfonce son pieu jusqu'à la garde. Chacun vient ensuite faire la queue ( sans jeu de mots..) pour l'enculer. Son trou du cul est béant et il aspire les queues comme une lettre à la poste, il est même de plus en plus humide, et elle en redemande, jouissant sans arrêt. Je la connais, ses orgasmes du cul sont encore plus forts. Elle se sert de son anus, mieux qu'une chatte, le serrant pour bien retenir la queue pendant qu'elle lui fore le trou.
Moi, je laisse faire désormais, et je la regarde ballotter de l'un à l'autre, deux bites parfois dans la bouche, et une autre entre les jambes, épuisée mais insatiable, se faisant enculer, niquer, sauter par qui le veut. Elle n'est plus, qu'un trou à bites, une bouche à queues, comme elle le voulait. Bref une femelle. Je lui avais promis, je le fais. Je décide que cela va être l'apothéose, le feu d'artifice. Nous nous mettons en cercle autour d'elle, elle au milieu de nous, à genoux. La douche de sperme. Elle nous pompe l'un après l'autre , nous suce avidement, et nous lui vidons nos couilles sur le visage, les seins, le ventre, le cou. Elle mélange nos spermes en s'en enduisant longuement le corps, les yeux fermés, et jouit longuement en tremblant de tout son corps.
22h.Je leur dis de partir. Ce sont des mecs vraiment sympas. Ils me disent, admiratifs, qu'ils n'ont jamais vu une salope pareille et que je ne dois pas m'ennuyer. Nous restons ensemble. Je la serre dans mes bras. Je l'embrasse tendrement.
http://chatte-poilu.erog.fr/
shivo@live.fr
J'adorerai participer!
gepy691@hotmail.fr
Ecrivez moi!!!
Elle sera classée truie à pis de vache sur le marché africain et rejoindra ensuite une ferme de travail, nue enchainée comme ses congénéres sous le joug de pervers mais aussi pour servir de sac à foutre et deux traites par jour, logée et nourrie comme le bétail
Sur les marchés africains, ce genre de viande est courant et très prisé par les inquisiteurs