Le blog de romemichel

Voila ma grosse lope suisse ,grosse cochonne ,esclave elle sera obéissante et sur simple demande vous serviras de vide couilles,       elle suce et avale comme une pouffiasse,et bien sur la tafiole a un trou du cul digne d'une grosse truie,alors faites vous plaisir enculez moi cette lopette.... Vous pouvez aussi vous en servir comme soubrette pour le ménage et la vaisselle, et la prendre quand vous avez des invités pour l'humilier,mon esclave ne sert qu'à çà. Sa petite bite ne bande plus et comme sa femme est au courant maintenant qu'il est esclave et soumis,elle la foutue dans la chambre du bas lol Bien sur çà fait longtemps qu'il est cocu faut dire que sa femelle a un cul d'enfer et besoin de grosses bites,  Il bande!! je vais prendre contact avec elle pour qu'elle l'humilie devant ses amants et montre la petite bite de ma tapette à ses amies Alors contactez ma tapette,il sera très obéissant et n'oubliez pas de me mettre en copie grosoumis@gmail.com Je recherche aussi pour ma grosse salope suisse une femme genre truie et cochonne bien sur, pour l'accompagner lors de vacances au cap d'adge début juin,elle devra se faire passer pour sa femme et l'humilier pendant toutes ses vacances.. Bien sur mon esclave paye tous les frais de séjour et autres,alors si vous êtes ok envoyez moi un mail pour organiser ce séjour de mon esclave romemichel@yahoo.fr

 

Pour ceux qui aiment la lecture:

 

 

16 oct

Maître ,

 je vous fais un bref résumé de ma  « carrière » de soumise :

 

15-17 ans

Mes premières expériences de soumis, avec les filles de l’école,  à cet âge, je suis le meilleur en sport, bon dans les branches scolaires, mais une fille de ma classe remarque que j’aime bien me faire rabaisser par elle, elle commence par me demander une fois de lui faire le baise main pour rigoler, puis de lui faire la révérence souvent, et de lui porter ses affaires de plus en plus souvent, un jour après la gymnastique, on reste avec cette fille et 2 de ses amies dans la salle pour discuter, et là elle profite de me demander de me mettre à genoux devant elle, bien sur je n’ai pas obéis tout de suite, elle et ses amies ont insistées et je me suis mis à genoux, là elles ont bien rigolé et Irène, m’a demandé ensuite sans rire de lui baiser les pieds, là j’ai rougis en ordre, j’avais envie, mais je ne voulais pas passer pour un con, au début j’ai refusé, elle ont toues insisté et j’ai fini par baiser ses pieds, bien sur applaudissements etc j’ai eu droit à baiser sur tous leur pieds, puis tous le monde est rentré, j’avais peur qu’elle en parle au copains le lendemain, mais elle n’a rien dit, ou plutôt elles n’ont rien dit, mais à chaque fois qu’on se retrouvait seuls, je devais leur obéir et baiser leur pieds, surtout ceux d’Irène, je me rappelle bien de cette fille, elle faisait au moins 1m90, une fille de paysan, elle avait une poigne terrible pour une fille. Evidemment avec le temps, je me suis ridiculisé devant toutes les filles de la classe et même la classe en dessous, ce qui fait que quand j’ai fini ma scolarité mon surnom était Toutou, le clébard, jusque vers mes 17 ans quand je sortais au bal ou en boite et que je croisais une des anciennes de ma classe, je devais obéir et baiser leurs pieds, elles adoraient montrer ça à leur copines.

 

18-20 ans

Je fais connaissance de ma première vraie copine, on couche ensemble une ou deux fois, je vois bien qu’elle n’est pas emballée, après nos premières parties de baise, elle change de comportement, chaque fois qu’on sort il y a un de ses ex ou un copain a elle, et elle passe plus de temps avec eux qu’avec moi, mais je me dis que ce n’est pas grave, elle a le droit d’avoir des amis, jusqu’au jour ou je la croise dans un magasin en train de s’embrasser avec un autre, qui la pelotte en plus assez ouvertement. Pendant ce temps là, au travail, je suis nommé sur un service avec mes premières responsabilités, et une jeune stagiaire libanaise, Dyna, intelligente et opportuniste, remarque mon manège de lui mâter ses pieds sous son bureau, elle me prend à mon propre jeu, je deviens son pantin et passe 3 mois de rêve à lui faire office de larbin, elle me répète tous les jours qu’elle va me dresser à sa botte, j’ai lustré, nettoyé, léché toutes ses bottes semelles chaussures, lappé mon café dans ma tasse à ses pieds, bref 3 mois de rêve. Après je change de boulot, je trouve un boulot mieux payé à Genève et je dois la quitter, comme j’avais du quitter ma première copine.

 

20-21 ans

Là je fais mes premières expériences avec un homme, un soir dans un bar gay, un grand et gros mec, me tâte le cul à plusieurs reprises, jamais un homme ne m’avait touché, et ça m’a troublé, je n’ai rien osé lui dire, j’ai changé d’endroit dans le bar pour m’écarter de lui, mais il me suit et insiste, il en arrive au point ou sa main passe dans mon pantalon, mon slip et il m’a même mis un doigt dans ma fente, j’étais paniqué, je n’osais rien dire, rouge de chez rouge, et lui se marrait, dès qu’il s’est levé pour partir quelque part, je suis sorti en vitesse, totalement troublé, et le pire c’est que j’avais aimé ça, me sentir sous son emprise de mâle viril m’avait procuré un étrange sentiment, j’avais bandé aussi. La même semaine, je me rendais dans une boite gay ou il y avait des trav, et avant la fin de la nuit je suçai ma première queue, une queue de travesti dominante, comme je n’avais aucune expérience, je n’ai rien vu arriver et il a tout giclé dans ma bouche, je n’oublierai jamais ce truc tiède, un peu salé qui coulait dans ma gorge, mais ça c’était un révélation pour moi, depuis ce jour je suis devenu un chasseur de queues, je cherchai à sucer par tous les moyens, des trav, puis dans cette boite j’ai connu 2 trav qui habitaient ensemble, ils ou elles m’ont amené chez elles, m’ont dominé, je les ai sucées, pour la première fois je me suis fais enculer, par les 2, une m’enculait pendant que je suçait l’autre, et comme ça durant des heures, à la fin j’avais du sperme partout sur le dos, le visage, le cul, et elles m’ont pris en mains quelques semaines, c’était de belles semaines, elles m’ont tous appris, à sucer pour faire redurcir leur queue, à lécher leur couilles, leur cul, leur talons, bref j’ai regretté quand elles sont parties, après j’ai continuer à aller dans cette boite régulièrement, je finissais de fois des soirées avec un trav et une fois j’ai fini avec une belle trav blonde dominante, chez son mec, un gars rempli de pognon qui roulait en Ferrari et qui avait un appartement d’un luxe pas possible, j’avais sucé le mec pendant que la trav m’enculait, après il baisait la trav devant moi moi je léchai ses couilles pour le faire durcir, bref j’adorais les trav et je les adore toujours, mais les vrais beaux trav, et je commençai à me dire que je devais aussi devenir un trav. Puis dans la même période, un soir dans cette boite, je rencontre un mec, il m’avait fait tilt, parce que je ne sais pas pourquoi, il était grand, avec de la brioche, 45 ans je pense, et ça me plaisait, il m’attirait, bref j’ai vu que moi aussi je lui plaisait, il est venu au bar à coté de moi, m’a fixé, j’ai baissé les yeux instinctivement et il a sourit, il m’a dit de me lever de mon tabouret de bar, s’est assis à ma place et m’a dit que je devais rester debout, j’ai obéi par habitude, ensuite il a mis sa main dans mon slip direct, m’a carressé le cul, il a insisté avec son doigt, je n’ai rien dit, puis il a sorti sa main, m’a pris les cheveux et m’a fait mettre à genoux, il écarté ses jambes et m’a fait caresser son sex avec ma bouche a travers son pantalon, je me rappellerai toujours, je sentais un truc énorme qui venait dur, j’avais jamais vu ça, puis au bout d’un moment il m’a emmener chez lui, alors, là, dans l’ascenceur il m’a foutu à poil, heureusement c’était 2 h du matin, il a ramassé mes fringues, m’a tiré les cheveux pour me mettre à genoux et m’a amener a 4 pattes chez lui comme ça, depuis l’ascenceur. Une fois chez lui, je l’ai sucé très longtemps il déplaçait ma bouche, un moment sur ses couilles un moment sur son gland, un moment dans son cul, puis sur ses pieds, puis à nouveau il rentrait sa queue dans ma bouche, et tout à coup, il m’a mis a 4 pattes, a rentré un doigt, 2, puis 3, puis j’ai senti in truc beaucoup plus gros que les trav, ça faisait mal, il a continué un moment, m’a relevé droit en continuant de me baiser, il a commencé à me branler en même temps, et j’avais moins mal, je commençais aussi a durcir il a arrêter de me branler d’un coup et m’a encore baiser fort j’ai gicler sans qu’il me touche la bite c’est venu tout seul dès qu’il a fini de me branler , puis il est sorti et a giclé sur moi, j’en avais sur toute la figure, je suis retourné souvent le voir, mais à la fin je voulais vraiment sa queue je devais lui supplier pour qu’il me permette de la sucer et me baise, et une fois il avait un ami, bref il m’a prêté à son ami, et après une période de vacances je ne l’ai plus revu. Et j’ai décidé d’arrêter de vivre cette vie, je me suis mis en tête de trouver à nouveau une copine et de me mettre en ménage pour faire comme tout le monde.

 

21-32 ans

Et j’ai connu ma deuxième vraie copine, c’était une amie de ma sœur, une très jolie fille , plus jeune que moi, réputée pour être une chaudasse, ma sœur, mes amis, tout le monde m’a prévenu, ne te mets pas en ménage avec elle, moi j’étais complètement accroc à elle, déjà c’était un canon, elle voulait tout le temps baiser, et elle m’a demandé assez vite de vivre en appart avec elle, j’ai dit ok tout de suite, mais elle ne voulait pas rester dans le coin ou on était, on a trouvé un magnifique appartement dans un chalet à St Cergue en suisse en dessus de Nyon, à la montagne, enfin un village a 1000 m d’altitude. Ça me faisait un peu plus de km pour aller bosser à Genève, mais bon, elle était contente avec ce chalet. Donc, première chose à savoir elle ne voulait pas travailler, elle restait par la maison, se promenait au village, très rapidement elle a trouvé des hommes la journée qui la transportait à Nyon ou à Genève faire du shopping, évidemment quand je rentrais en fin d’après-midi, au début elle était à la maison, mais n’avait strictement rien foutu, ce qu’elle avait mangé trainait encore sur la table, pas de vaisselle de faite, rien, vraiment rien, donc c’est moi qui en plus du boulot, me faisait la ménage et autres tâches. Bon pendant 2, 3 mois j’ai rien dit en pensant que ça allait s’améliorer, mais non, pire, souvent quand je rentrais elle n’étais pas à la maison, elle rentrait même de plus en plus tard, minuit, une heure du mat, avec toujours des mecs qui la posaient à la maison, avec un grand sourire, évidemment on ne baisait plus, elle refusait,  j’ai tenté une fois de lui demander ce qu’elle faisait, et pourquoi elle n’était jamais là quand je rentrais, elle m’a dit qu’elle ne voulait pas rester dans une petite boite qu’elle avait 20 ans et qu’elle voulait aussi vivre, que je devais lui faire confiance. Bon, je me suis dit qu’elle avait raison, je n’avais pas le droit de lui reprocher quoi que ce soit, bref ça duré 2 ans environs comme ça. Puis un jour je rentre du travail en début d’après-midi, et je la vois qui sort en chemise de nuit nue dessous de l’appartement du propriétaire du chalet un prof de lettres à l’uni, 55 ans, je lui demande ce qu’elle fait, elle me dit je voulais se doucher et qu’elle n’avais plus d’eau chaude, le prof lui a proposé de prendre sa douche chez lui, moi naïf, ok j’ai passé dessus, le lundi suivant je rentre je trouve un mot qui me dit qu’un vieux copain qu’elle n’a pas revu depuis 2 ans est venue la chercher en moto, et qu’ils sont partis trouvé une de leurs amis accidentés à Rumilly en France, bon là j’ai commencé gamberger, elle n’est pas rentrée durant 3 jours, puis le jeudi je rentre du boulot, vers 16h00, j’arrive à la maison, je vois une moto dans la cour, évidemment je monte sans bruit, et je tombe sur le tableau, elle au lit avec ce mec, évidemment je commence à gueuler, et ma copine se lève et dis à l’autre texto : ça y est il va de nouveau me frapper, le mec est venu vers moi à poil, il m’a chopé m’a mis 2 gifles, moi comme j’ai toujours été un trouillard je me suis pissé dessus, il était grand et costaud, il a montré à ma copine que je m’étais pissé dessus et c’en étais fini pour moi, elle a rigolé, et après lui a déballé que j’étais une tafiolle, que j’avais une bite minuscule, que j’étais une couille molle, que je baisais comme un lapin, moi je disais que c’étais pas vrai etc.. mais chaque fois que je m’approchais d’elle, il me mettait une gifle, je n’osais rien faire rien dire, alors ma copine m’a dit « montre nous ta bite si c’est pas vrai », et comme l’autre était toujours à poil, il m’a obligé à me foutre à poil aussi, bien sur comme j’avais peur, j’ai obéi pour ne pas avoir d’histoire, et bien sur la différence était tellement énorme que les 2 ont rigolés, après il m’a obligé à m’excuser devant elle à genoux pour l’avoir frappée, alors que jamais je ne l’avais touchée, je me suis mis a genoux pour demander pardon, lui dire que j’étais un crétin, que dorénavant je lui demanderai son avis avant de faire quelque chose, tout ça à poil à genoux avec le mec qui me tenait par l’oreille, et là je n sais pas pourquoi, alors que je n’en avais absolument pas envie, je me suis mis à bander, c’était la fin de tout, depuis ce jour, elle n’a fait que sortir, 2 jours chez celui-ci, 2 jours chez celui-là, elle allait se faire baiser chez le proprio, je les entendais le soir, même une fois on était invité chez un couple qu’elle connaissait, à peine arrivés elle est partie visité la maison avec le mec, je voyais dans le miroir qu’ils pelottaient, sa femme m’a dit qu’ils étaient échangistes, ça ne lui posait pas de problème qu’il couche avec ma copine, et que ce n’était pas la première fois, elle m’a dit par contre je baise pas avec toi, ta copine m’a tout dit sur tes performances sexuelles, je préfère pas voir ça. Bref moi j’ai recommencé à faire les bars gay avant de remonté à la maison, j’ai recommencé à sucer des trav, des mecs, j’allais souvent dans un bar qui s’appelait « la mine » à l’époque, il y avait une barmaid la quarantaine, Renée, elle était très dominante, je lui payait sa bouteille de champagne et elle m’humiliait devant les clients et les clientes, parce qu’il y avait aussi des lesbiennes, parfois avec de la chance, je léchais les pieds et les chaussures de Renée et celles de ses amies lesbiennes, ou je sucais des mecs devant elles. Bref, 4 ans plus tard, j’ai tout quitté copine, chalet, et je suis revenu habiter plus près de Genève, durant 5 ans j’ai mené cette vie, j’ai connu des trav, des mecs, des filles, mais toujours dans un rôle soumis, et je recommençai à penser devenir un trav.

 

32-53 ans

J’ai connu ma femme par hasard au cinéma, elle était brésilienne et ne parlait pas bien le français, on a fait connaissance, et on est sorti ensemble 1 an avant de se marier, elle voulait se marier rapidement, sinon elle devait retourner au brésil, on s’est marier, au début elle baisait avec moi une, deux fois par semaine, elle ne voulait pas plus, puis on a eu notre fille, j’étais content de me ranger et d’être stable, puis quand on a eu 5 ans de mariage, elle a reçu ses papiers pour travailler et rester en suisse, depuis ce moment, elle a changé, on ne baisait plus que 1 fois par mois, et encore, après c’était une fois par 3 mois, et je voyais qu’elle ne prenait aucun plaisir, bref je lui ai trouvé du travail dans une entreprise comme réceptioniste, elle aimait bien, puis elle s’est mise à rentrer de plus en plus tard du travail, son patron voulait la former comme secrétaire, donc elle devait aussi accepter de faire des horaires le soir, c’était une entreprise de montres de luxe, et il y avait des clients souvent le soir, ok, puis après c’est les séminaires de travail le week-end qui ont commencé, vendredi samedi dimanche, à Verbier au grand hôtel, ou à Zermatt, ou à Gstaad, bref 1 week-end sur 2 elle était absente, puis il y a 10 ans environs, je vais chercher quelque chose dans son armoire, elle était en séminaire dans un truc genre thalasso, et en ouvrant l’armoire, je constate que toute sa lingerie sexy, qu’elle s’était payée les derniers temps n’était pas ici, donc elle l’avait pris, et pourquoi avoir pris de la lingerie sexy en séminaire, depuis ce moment, j’ai repensé à tous me déboires et mes cocufiages, je n’ai rien dit, quand elle est rentré j’ai pris discrètement sa valise en lui disant que je ferai la lessive, elle ‘a dit ok en souriant, j’ai bien sur vu l’état de sa lingerie, les strings sales, tachés de sperme, j’ai donc compris, sans en être sur vraiment. Puis un an après, je devais moi partir en valais faire la fête avec des contemporains, elle était à la maison, m’a dit toute contente d’y aller et de m’amuser, pas de bol arrivé en valais un de nos copains avait eu un accident de voiture, tout était annulé, je suis allé le visiter en vitesse à l’hôpital et je suis rentré, mais arrivé chez moi, ma ruelle était fermée à cause du voisin qui avait invité beaucoup de monde chez lui, j’ai du parquer au milieu du village, et je suis rentré à pieds chez moi, première surprise la porte n’était pas fermée à clef, ma femme devant être théoriquement chez sa cousine, je me suis dit qu’elle avait oublier de fermer la porte, mais en rentrant, je vois de fringues en tas par terre, du vin ouvert au salon, des slips de mecs à la cuisine, j’ai eu l’estomac qui s’est noué, mais j’ai fait très doucement, j’ai commencé à entendre des cris au premier dans notre chambre, en montant les escaliers les cris devenaient de plus en plus forts, et quand j’ai ouvert la porte, je suis tombé sur ma femme qui baisait avec son patron, là encore on s’est expliqué, j’ai eu droit au discours de couillemolle  etc, pour avoir la paix et rester chez moi, j’ai accepté, son deal, et depuis je bande en écoutant ma femme se faire baiser, mes vieux démons de soumis ressortent de plus en plus et j’ai décidé de devenir une femelle soumise, à un maître ou a un couple, et de me faire diriger, humilier, ridiculiser, rabaisser, bref je veux servir de paillason, de lopette vide couilles à un maitre.

Mais avant je faisais 65 kg, maintenant j’en fais 110, donc pour être féminine et exciter les mecs, c’est pas top, mais je vous suivrai Maître.

 

Voilà Maître j’arrive enfin au bout de mon mail.

 

Grosse lope