Le blog de romemichel
Son mari vient de me dire qu'il y a de la demande pour gicler sur sa salope,
il a déjà sélectionné deux mâles pour la prochaine séance,
aussi attention pour gicler sur madame la truie, on demande d'être cool,sympa et d'avoir les couilles pleines,
Un petite mail,et mes cochons n'oubliez pas de me mettre en copie..... soumise63@yahoo.fr Alors bonne à chevaucher la cochonne????
et bien c'est réussi même que la chienne ne lui demande même plus son avis,et oui il est cocu mais content, et la conasse se fait un plaisir quand elle rentre de montrer son trou du cul dégoulinant de sperme,quelle garce,
aussi attention pour gicler sur madame la truie, on demande d'être cool,sympa et d'avoir les couilles pleines,
et si la chienne rentre en trans devant une grosse bite,et bien ne soyez pas surpris qu'elle se mette à pattes et demande d'être enculer,
Il faut savoir que plus vous insultez cette trainée,et plus vous avez de chance qu'elle entre en trans et donc de l'enculer...
Un petite mail,et mes cochons n'oubliez pas de me mettre en copie..... soumise63@yahoo.fr Alors bonne à chevaucher la cochonne????
Lun 2 déc 2013
8 commentaires
Soumission à mon maître
Deux jours après mon retour à mon domicile, mon épouse rentre à son tour. Nous sommes sincèrement heureux de nous retrouver ; ma femme n'a pas besoin de toute sa perspicacité pour se rendre compte que mon apparence n'est plus tout à fait la même : sans encore avoir constaté l'absence de pilosité sur le sexe, les jambes, la poitrine et des bras différents.
Mon comportement l'intrigue ; je n'ai pas l'impression d'avoir changé, j'essaie de me resituer comme le mari que j'étais et que je suis.
Elle me pose les questions habituelles de retrouvailles, où, comment, sur la qualité de mon séjour, mais elle ne semble pas entièrement convaincue par mes réponses assez évasives sur certains aspects.
Elle-même a effectué, semble-t-il, un très bon séjour avec ses amies. Elle n'est pas très expansive sur le sujet.
Nous montons nous coucher et comme d'habitude. Après une période relativement longue de séparation, son très beau cul me procure un feu sexuel immédiat que nous nous empressons d'éteindre ; je crois que je ne me lasserai jamais de son superbe corps.
Toutes ces fortes émotions me font oublier que, depuis la dernière séquence de chauds ébats avec ma femme, mon apparence physique a quelque peu évoluée ; quant à elle, lorsqu'elle s'apprête à enrober ma bite de ses lèvres, l'absence de pilosité ne lui échappe pas.
Sûrement surprise, elle continue cependant de bien me sucer, puis soudain s'arrête et m'en demande la raison ; je lui explique confusément que j'avais envie de le faire depuis longtemps, question de confort personnel...
- Et tes jambes sont bien glabres aussi, mon chéri, est-ce aussi pour confort personnel ou t'es tu remis au cyclisme ?
Ma bandaison en prend un coup, j'aimerais pourtant qu'elle aille au bout de sa fellation ; et puis, basta ! Je lui présente un mari bisexuel, qui souhaite des expériences homme, et que j'en ai envie depuis bien longtemps. Je n'en peux plus de mentir et je lui déballe tout depuis ma première expérience homo, jusqu'à mon besoin de travestissement et ma recherche de soumission.
Une demi-heure d'aveux, ou plutôt de révélations, car je me sens de moins en moins gêné, encore moins coupable.
Et que croyez vous qu'il arriva ?
Elle se lova contre moi, m'obligea à me mettre sur le dos, me chevaucha, me prit le sexe, me masturba légèrement jusqu'à la raideur souhaitée et, d'un coup, s'empala sur ma bite. Elle se trémoussait, ondulait comme jamais ; soudain elle s'arrêta, me garda bien au fond de son vagin, elle se coucha sur moi et m'embrassa fougueusement.
- Je t'aime mon chéri ; je ne sais comment te dire, mais j'ai toujours aimé ton côté compréhensif, cette façon de me comprendre ; je ne suis pas surprise par ta bisexualité et je pense que je te considère quelque part comme un mari idéal. Je ne serai pas un obstacle, au contraire, je souhaite continuer à participer activement à ta vie sexuelle.
Autre chose aussi, le fait que ton premier amant ait été un noir rajoute à l'érotisme de ton comportement. Je me souviens qu'à l'époque, il t'arrivait de te comporter en amant noir, que tu décrivais avec détails ; et j'en puisais une source de plaisir que j'essayais de te cacher tant bien que mal.
Nous fîmes l'amour comme jamais, torridement et sans frein, libérés des idées plein la tête.
Nous étions pratiquement au premier jour de notre liaison.
Bizarrement l'idée d'être seul, soumis à l'autorité d'un maître, me lancinait moins, mais n'avait pas disparue. L'idée de mon cher Bernard, de baiser ma femme, refaisait jour en moi ; cependant, il m'apparaissait difficile de prendre contact avec lui deux ans après.
Je décidais toutefois d'appeler un ex-collègue et qui connaissait Bernard. Il me promit d'essayer de le retrouver.
Plusieurs jours plus tard, je pouvais reprendre contact avec Bernard. Je l'appelais ; à priori, il n'avait pas changé et je prenais plaisir à dialoguer avec lui. Lorsque j'abordais ma promesse de lui proposer ma femme il y a bien longtemps, il partit d'un grand éclat de rire.
- C'est dommage que tu ne l'as pas fait !
- C'est vrai, mais il n'est pas trop tard ; j'aimerais te revoir tu sais. Si tu le veux, je te paie le voyage...
Il m'expliqua ensuite que c'était bien tentant et qu'il m'enverrait un mail le soir même.
Après accord sur la date, en novembre, je lui fis mettre un billet d'avion à disposition ; je le prendrai entièrement en charge dès son arrivée.
J'avais à peu près deux mois pour préparer sa venue matériellement et surtout pour préparer ma femme ainsi que tout mon entourage : voisin, famille, collègues, etc.
J'avais imaginé, dans un premier scénario, qu'il couche à la maison dès le premier soir, mais je pensais que, dans ce cas, il n'y aurait pas le piment d'une approche progressive et surtout désirée par ma femme. Il fallait que mon Maître soit aussi librement adopté par ma chère et tendre épouse.
Pour elle, je décidais de lui présenter Bernard comme étant un ancien collègue qui venait en stage au siège de la société.
Le jour attendu, je récupérai Bernard à l'aéroport ; la sortie ne se fit d'ailleurs pas si facilement que cela, les raisons du voyage n'étant pas très claires pour les policiers ; enfin tout se termina bien.
Mon Bernard avait encore forci, quelques cheveux gris qui lui allaient très bien ; je le trouvais superbe et à nouveau une vague de chaleur me prit au ventre.
Je le déposais à son hôtel où j'avais réservé une grande chambre ; à peine la porte refermée, je lui sautais au cou pour l'embrasser ; ses lèvres et sa langue avaient toujours ce goût salé que j'adorais.
Je l'attirais vers le lit, impatient(e) de lui prodiguer toutes les caresses qu'il méritait ; mais il n'avait pas perdu de cet esprit de domination qui me poussait à bout de désir qui se refusait pour ensuite mieux me prendre ; il souhaitait prendre une bonne douche avant toute chose.
Nous nous sommes dévêtus puis, sous la douche tiède, je lui passais du gel doucement ; la mousse sur son corps d'ébène magnifique et le contact onctueux de sa peau m’électrisait à nouveau.
Tendrement, je lui pris le sexe et doucement, sous mes baisers et mes succions, il me dévoila la force du désir qui montait en lui ; son érection était à nouveau impressionnante mais tellement jolie. Quelle belle bite tu as mon Bernard !
Il me prit debout sous la douche sans autre préparation et marqua la possession de son territoire par un énorme jet de sperme dans mes entrailles. Les retrouvailles étaient consommées !
Je rappelais à ma femme, le soir même, le rendez-vous que nous avions avec mon pseudo collègue Bernard, demain soir. J'en profitais pour présenter quelques traits particuliers de Bernard, je le décrivais comme très dragueur, amateur de femmes et ne parlais pas de son côté bi. A Bernard, j'avais présenté mon épouse comme peu délurée, non pas farouche mais discrète ; il ne s'agissais donc pas d'agir en hussard. D'autre part, elle n'était pas au courant de nos rapports sexuels.
Le lendemain, je récupérais Bernard à son hôtel ; en chemin je m'arrêtais chez un fleuriste et fis faire un superbe bouquet que Bernard offrirait.
Habillé de vêtements neufs que je lui avais achetés, tendant le bouquet et plaçant un sourire aux dents étincelantes, Bernard marqua ses premiers points dès l'entrée ; à la façon de se comporter de ma femme, j'avais la conviction que le contact était positif et que le courant passait bien.
Bernard se comportait en parfait homme du monde, courtois, à l'écoute, il m'étonnait un peu, mais j'en étais fier.
Nous abordâmes de nombreux sujets, le repas de mon épouse fut récompensé par des applaudissements ; Bernard adore le vin mais n'en fit pas une consommation excessive et, à la fin du repas, Bernard et moi aidâmes à desservir, nous bûmes un excellent cognac.
A un moment donné, ma femme était en cuisine, je dis à Bernard d'accentuer sa drague vis à vis de ma femme lorsque je ferais semblant d’aller aux toilettes.
Vers 23 heures, je raccompagnais Bernard à son hôtel, il me fit un petit rapport de ses conversations en tête à tête avec ma femme et je rentrais rapidement chez moi.
Ma femme, qui ne dormait pas, me dit qu'elle trouvait que mon ami était très sympa mais aussi très entreprenant et, en se blottissant dans mes bras, me fit part des propos de Bernard quant au plaisir de la revoir rapidement.
_Et alors, tu as envie de le revoir, que lui as-tu dit ?
_Si je le revois, c'est avec toi ; je lui ai dit qu'il était le bienvenu ici quand il le voulait.
_Bien, je le réinviterai demain
_Pourquoi ne lui laisserions-nous pas la chambre d'amis? Ce serait quand même mieux qu'à l'hôtel.
_Tu as raison, je le lui proposerai.
Dès le lendemain, notre ami prit possession de sa chambre ; il devrait s'y sentir à l'aise. Ma femme avait pris un soin particulier à la décorer.
Bernard prit ses marques tout de suite ; il était naturellement chez lui ; il se conduisait avec ma femme comme une amie de tous les jours et cela ne la choquait pas du tout. Ils riaient de bon cœur et, chose impensable, il n'arrêtait pas de la prendre par le cou, par la main en ami, rien de sexuel mais inhabituel chez ma femme.
Dès le premier soir, à peine couchée, ma belle se précipita dans mes bras et me dit avoir envie de Bernard ; c'était plus fort qu'elle, il la magnétisait. Je comprenais d'autant plus que j'avais vécu ce même tumulte intérieur avec lui.
Je lui proposais d'aller le chercher ; elle se ca
Deux jours après mon retour à mon domicile, mon épouse rentre à son tour. Nous sommes sincèrement heureux de nous retrouver ; ma femme n'a pas besoin de toute sa perspicacité pour se rendre compte que mon apparence n'est plus tout à fait la même : sans encore avoir constaté l'absence de pilosité sur le sexe, les jambes, la poitrine et des bras différents.
Mon comportement l'intrigue ; je n'ai pas l'impression d'avoir changé, j'essaie de me resituer comme le mari que j'étais et que je suis.
Elle me pose les questions habituelles de retrouvailles, où, comment, sur la qualité de mon séjour, mais elle ne semble pas entièrement convaincue par mes réponses assez évasives sur certains aspects.
Elle-même a effectué, semble-t-il, un très bon séjour avec ses amies. Elle n'est pas très expansive sur le sujet.
Nous montons nous coucher et comme d'habitude. Après une période relativement longue de séparation, son très beau cul me procure un feu sexuel immédiat que nous nous empressons d'éteindre ; je crois que je ne me lasserai jamais de son superbe corps.
Toutes ces fortes émotions me font oublier que, depuis la dernière séquence de chauds ébats avec ma femme, mon apparence physique a quelque peu évoluée ; quant à elle, lorsqu'elle s'apprête à enrober ma bite de ses lèvres, l'absence de pilosité ne lui échappe pas.
Sûrement surprise, elle continue cependant de bien me sucer, puis soudain s'arrête et m'en demande la raison ; je lui explique confusément que j'avais envie de le faire depuis longtemps, question de confort personnel...
- Et tes jambes sont bien glabres aussi, mon chéri, est-ce aussi pour confort personnel ou t'es tu remis au cyclisme ?
Ma bandaison en prend un coup, j'aimerais pourtant qu'elle aille au bout de sa fellation ; et puis, basta ! Je lui présente un mari bisexuel, qui souhaite des expériences homme, et que j'en ai envie depuis bien longtemps. Je n'en peux plus de mentir et je lui déballe tout depuis ma première expérience homo, jusqu'à mon besoin de travestissement et ma recherche de soumission.
Une demi-heure d'aveux, ou plutôt de révélations, car je me sens de moins en moins gêné, encore moins coupable.
Et que croyez vous qu'il arriva ?
Elle se lova contre moi, m'obligea à me mettre sur le dos, me chevaucha, me prit le sexe, me masturba légèrement jusqu'à la raideur souhaitée et, d'un coup, s'empala sur ma bite. Elle se trémoussait, ondulait comme jamais ; soudain elle s'arrêta, me garda bien au fond de son vagin, elle se coucha sur moi et m'embrassa fougueusement.
- Je t'aime mon chéri ; je ne sais comment te dire, mais j'ai toujours aimé ton côté compréhensif, cette façon de me comprendre ; je ne suis pas surprise par ta bisexualité et je pense que je te considère quelque part comme un mari idéal. Je ne serai pas un obstacle, au contraire, je souhaite continuer à participer activement à ta vie sexuelle.
Autre chose aussi, le fait que ton premier amant ait été un noir rajoute à l'érotisme de ton comportement. Je me souviens qu'à l'époque, il t'arrivait de te comporter en amant noir, que tu décrivais avec détails ; et j'en puisais une source de plaisir que j'essayais de te cacher tant bien que mal.
Nous fîmes l'amour comme jamais, torridement et sans frein, libérés des idées plein la tête.
Nous étions pratiquement au premier jour de notre liaison.
Bizarrement l'idée d'être seul, soumis à l'autorité d'un maître, me lancinait moins, mais n'avait pas disparue. L'idée de mon cher Bernard, de baiser ma femme, refaisait jour en moi ; cependant, il m'apparaissait difficile de prendre contact avec lui deux ans après.
Je décidais toutefois d'appeler un ex-collègue et qui connaissait Bernard. Il me promit d'essayer de le retrouver.
Plusieurs jours plus tard, je pouvais reprendre contact avec Bernard. Je l'appelais ; à priori, il n'avait pas changé et je prenais plaisir à dialoguer avec lui. Lorsque j'abordais ma promesse de lui proposer ma femme il y a bien longtemps, il partit d'un grand éclat de rire.
- C'est dommage que tu ne l'as pas fait !
- C'est vrai, mais il n'est pas trop tard ; j'aimerais te revoir tu sais. Si tu le veux, je te paie le voyage...
Il m'expliqua ensuite que c'était bien tentant et qu'il m'enverrait un mail le soir même.
Après accord sur la date, en novembre, je lui fis mettre un billet d'avion à disposition ; je le prendrai entièrement en charge dès son arrivée.
J'avais à peu près deux mois pour préparer sa venue matériellement et surtout pour préparer ma femme ainsi que tout mon entourage : voisin, famille, collègues, etc.
J'avais imaginé, dans un premier scénario, qu'il couche à la maison dès le premier soir, mais je pensais que, dans ce cas, il n'y aurait pas le piment d'une approche progressive et surtout désirée par ma femme. Il fallait que mon Maître soit aussi librement adopté par ma chère et tendre épouse.
Pour elle, je décidais de lui présenter Bernard comme étant un ancien collègue qui venait en stage au siège de la société.
Le jour attendu, je récupérai Bernard à l'aéroport ; la sortie ne se fit d'ailleurs pas si facilement que cela, les raisons du voyage n'étant pas très claires pour les policiers ; enfin tout se termina bien.
Mon Bernard avait encore forci, quelques cheveux gris qui lui allaient très bien ; je le trouvais superbe et à nouveau une vague de chaleur me prit au ventre.
Je le déposais à son hôtel où j'avais réservé une grande chambre ; à peine la porte refermée, je lui sautais au cou pour l'embrasser ; ses lèvres et sa langue avaient toujours ce goût salé que j'adorais.
Je l'attirais vers le lit, impatient(e) de lui prodiguer toutes les caresses qu'il méritait ; mais il n'avait pas perdu de cet esprit de domination qui me poussait à bout de désir qui se refusait pour ensuite mieux me prendre ; il souhaitait prendre une bonne douche avant toute chose.
Nous nous sommes dévêtus puis, sous la douche tiède, je lui passais du gel doucement ; la mousse sur son corps d'ébène magnifique et le contact onctueux de sa peau m’électrisait à nouveau.
Tendrement, je lui pris le sexe et doucement, sous mes baisers et mes succions, il me dévoila la force du désir qui montait en lui ; son érection était à nouveau impressionnante mais tellement jolie. Quelle belle bite tu as mon Bernard !
Il me prit debout sous la douche sans autre préparation et marqua la possession de son territoire par un énorme jet de sperme dans mes entrailles. Les retrouvailles étaient consommées !
Je rappelais à ma femme, le soir même, le rendez-vous que nous avions avec mon pseudo collègue Bernard, demain soir. J'en profitais pour présenter quelques traits particuliers de Bernard, je le décrivais comme très dragueur, amateur de femmes et ne parlais pas de son côté bi. A Bernard, j'avais présenté mon épouse comme peu délurée, non pas farouche mais discrète ; il ne s'agissais donc pas d'agir en hussard. D'autre part, elle n'était pas au courant de nos rapports sexuels.
Le lendemain, je récupérais Bernard à son hôtel ; en chemin je m'arrêtais chez un fleuriste et fis faire un superbe bouquet que Bernard offrirait.
Habillé de vêtements neufs que je lui avais achetés, tendant le bouquet et plaçant un sourire aux dents étincelantes, Bernard marqua ses premiers points dès l'entrée ; à la façon de se comporter de ma femme, j'avais la conviction que le contact était positif et que le courant passait bien.
Bernard se comportait en parfait homme du monde, courtois, à l'écoute, il m'étonnait un peu, mais j'en étais fier.
Nous abordâmes de nombreux sujets, le repas de mon épouse fut récompensé par des applaudissements ; Bernard adore le vin mais n'en fit pas une consommation excessive et, à la fin du repas, Bernard et moi aidâmes à desservir, nous bûmes un excellent cognac.
A un moment donné, ma femme était en cuisine, je dis à Bernard d'accentuer sa drague vis à vis de ma femme lorsque je ferais semblant d’aller aux toilettes.
Vers 23 heures, je raccompagnais Bernard à son hôtel, il me fit un petit rapport de ses conversations en tête à tête avec ma femme et je rentrais rapidement chez moi.
Ma femme, qui ne dormait pas, me dit qu'elle trouvait que mon ami était très sympa mais aussi très entreprenant et, en se blottissant dans mes bras, me fit part des propos de Bernard quant au plaisir de la revoir rapidement.
_Et alors, tu as envie de le revoir, que lui as-tu dit ?
_Si je le revois, c'est avec toi ; je lui ai dit qu'il était le bienvenu ici quand il le voulait.
_Bien, je le réinviterai demain
_Pourquoi ne lui laisserions-nous pas la chambre d'amis? Ce serait quand même mieux qu'à l'hôtel.
_Tu as raison, je le lui proposerai.
Dès le lendemain, notre ami prit possession de sa chambre ; il devrait s'y sentir à l'aise. Ma femme avait pris un soin particulier à la décorer.
Bernard prit ses marques tout de suite ; il était naturellement chez lui ; il se conduisait avec ma femme comme une amie de tous les jours et cela ne la choquait pas du tout. Ils riaient de bon cœur et, chose impensable, il n'arrêtait pas de la prendre par le cou, par la main en ami, rien de sexuel mais inhabituel chez ma femme.
Dès le premier soir, à peine couchée, ma belle se précipita dans mes bras et me dit avoir envie de Bernard ; c'était plus fort qu'elle, il la magnétisait. Je comprenais d'autant plus que j'avais vécu ce même tumulte intérieur avec lui.
Je lui proposais d'aller le chercher ; elle se ca
lailatvx - le 04/12/2013 à 06h12
Sophie, Vous êtes vraiment merveilleuse! un beau cul e chatte de cochonne tout à visser!!!
Contactez-moi a: luckysu69@aol.com
Je te veux!
Bisous, Claudio
Contactez-moi a: luckysu69@aol.com
Je te veux!
Bisous, Claudio
Claudio - le 06/12/2013 à 16h51
sophie je t'ai renvoyée une photo souillée par ma jute
quand est ce que tu peux t'occuper de mes couilles ?
quand est ce que tu peux t'occuper de mes couilles ?
ahmed - le 06/12/2013 à 20h21
Belle femme très épanouie sexuellement . J'aimerais bien pouvoir jouir sur ses fesses et son minou Me faire sucer et la satisfaire .
Bruno - le 08/12/2013 à 14h28
Trés intéressant
http://videofrench.erog.fr/
http://videofrench.erog.fr/
nolan - le 11/12/2013 à 22h30
superbe j'aimerai bien lui donner mon sperme, mais je suis en normandie
chris - le 20/12/2013 à 13h02
je gicle sur ta raie et ta chatte de pute leche ma bite salope pute mets des talons aigguilles de salope putain je te les enfonce dans ton q de pute
gilles - le 15/09/2015 à 18h05
Guillaume